Thursday, July 31, 2008
ma plus belle histoire d´amour - barbara - 1966
Du plus loin, que me revienne,
L'ombre de mes amours anciennes,
Du plus loin, du premier rendez-vous,
Du temps des premières peines,
Lors, j'avais quinze ans, à peine,
Cœur tout blanc, et griffes aux genoux,
Que ce furent, j'étais précoce,
De tendres amours de gosse,
Ou les morsures d'un amour fou,
Du plus loin qu'il m'en souvienne,
Si depuis, j'ai dit "je t'aime",
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous,
C'est vrai, je ne fus pas sage,
Et j'ai tourné bien des pages,
Sans les lire, blanches, et puis rien dessus,
C'est vrai, je ne fus pas sage,
Et mes guerriers de passage,
A peine vus, déjà disparus,
Mais à travers leur visage,
C'était déjà votre image,
C'était vous déjà et le cœur nu,
Je refaisais mes bagages,
Et poursuivais mon mirage,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous,
Sur la longue route,
Qui menait vers vous,
Sur la longue route,
J'allais le cœur fou,
Le vent de décembre,
Me gelait au cou,
Qu'importait décembre,
Si c'était pour vous,
Elle fut longue la route,
Mais je l'ai faite, la route,
Celle-là, qui menait jusqu'à vous,
Et je ne suis pas parjure,
Si ce soir, je vous jure,
Que, pour vous, je l'eus faite à genoux,
Il en eut fallu bien d'autres,
Que quelques mauvais apôtres,
Que l'hiver ou la neige à mon cou,
Pour que je perde patience,
Et j'ai calmé ma violence,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous,
Les temps d'hiver et d'automne,
De nuit, de jour, et personne,
Vous n'étiez jamais au rendez-vous,
Et de vous, perdant courage,
Soudain, me prenait la rage,
Mon Dieu, que j'avais besoin de vous,
Que le Diable vous emporte,
D'autres m'ont ouvert leur porte,
Heureuse, je m'en allais loin de vous,
Oui, je vous fus infidèle,
Mais vous revenais quand même,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous,
J'ai pleuré mes larmes,
Mais qu'il me fut doux,
Oh, qu'il me fut doux,
Ce premier sourire de vous,
Et pour une larme,
Qui venait de vous,
J'ai pleuré d'amour,
Vous souvenez-vous ?
Ce fut, un soir, en septembre,
Vous étiez venus m'attendre,
Ici même, vous en souvenez-vous ?
A vous regarder sourire,
A vous aimer, sans rien dire,
C'est là que j'ai compris, tout à coup,
J'avais fini mon voyage,
Et j'ai posé mes bagages,
Vous étiez venus au rendez-vous,
Qu'importe ce qu'on peut en dire,
Je tenais à vous le dire,
Ce soir je vous remercie de vous,
Qu'importe ce qu'on peut en dire,
Je suis venue pour vous dire,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous...
L'ombre de mes amours anciennes,
Du plus loin, du premier rendez-vous,
Du temps des premières peines,
Lors, j'avais quinze ans, à peine,
Cœur tout blanc, et griffes aux genoux,
Que ce furent, j'étais précoce,
De tendres amours de gosse,
Ou les morsures d'un amour fou,
Du plus loin qu'il m'en souvienne,
Si depuis, j'ai dit "je t'aime",
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous,
C'est vrai, je ne fus pas sage,
Et j'ai tourné bien des pages,
Sans les lire, blanches, et puis rien dessus,
C'est vrai, je ne fus pas sage,
Et mes guerriers de passage,
A peine vus, déjà disparus,
Mais à travers leur visage,
C'était déjà votre image,
C'était vous déjà et le cœur nu,
Je refaisais mes bagages,
Et poursuivais mon mirage,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous,
Sur la longue route,
Qui menait vers vous,
Sur la longue route,
J'allais le cœur fou,
Le vent de décembre,
Me gelait au cou,
Qu'importait décembre,
Si c'était pour vous,
Elle fut longue la route,
Mais je l'ai faite, la route,
Celle-là, qui menait jusqu'à vous,
Et je ne suis pas parjure,
Si ce soir, je vous jure,
Que, pour vous, je l'eus faite à genoux,
Il en eut fallu bien d'autres,
Que quelques mauvais apôtres,
Que l'hiver ou la neige à mon cou,
Pour que je perde patience,
Et j'ai calmé ma violence,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous,
Les temps d'hiver et d'automne,
De nuit, de jour, et personne,
Vous n'étiez jamais au rendez-vous,
Et de vous, perdant courage,
Soudain, me prenait la rage,
Mon Dieu, que j'avais besoin de vous,
Que le Diable vous emporte,
D'autres m'ont ouvert leur porte,
Heureuse, je m'en allais loin de vous,
Oui, je vous fus infidèle,
Mais vous revenais quand même,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous,
J'ai pleuré mes larmes,
Mais qu'il me fut doux,
Oh, qu'il me fut doux,
Ce premier sourire de vous,
Et pour une larme,
Qui venait de vous,
J'ai pleuré d'amour,
Vous souvenez-vous ?
Ce fut, un soir, en septembre,
Vous étiez venus m'attendre,
Ici même, vous en souvenez-vous ?
A vous regarder sourire,
A vous aimer, sans rien dire,
C'est là que j'ai compris, tout à coup,
J'avais fini mon voyage,
Et j'ai posé mes bagages,
Vous étiez venus au rendez-vous,
Qu'importe ce qu'on peut en dire,
Je tenais à vous le dire,
Ce soir je vous remercie de vous,
Qu'importe ce qu'on peut en dire,
Je suis venue pour vous dire,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous...
QM2 back in Hamburg
dieses bild ist älter, aber bei tageslicht kann man mehr erkennen...
letzte nacht kam die "Queen Mary 2" wieder einmal nach hamburg. es ist der auftaktbesuch zu den cruise days (lol) in hamburg, bei denen nacheinander sieben große kreuzfahrtschiffe die stadt besuchen.
in welche millionenstadt kann man schon mit dem größten passagierschiff der welt fahren. nur einige gehminuten vom stadtzentrum entfernt.
und die hamburger lieben ihre queen und strömen in massen zum hafen um sie willkommen zu heissen.
donnerstag
die hitze lässt nicht nach. die wohnung habe ich verdunkelt, in die sonne darf ich wegen der tabletten nicht, also hocke ich vorm pc und wasche und bügle nebenbei. heute abend geht es endlich wieder zum chor, auch wenn die stimme wohl nur für eine stunde reicht.
morgen hat thomas geburtstag und wir sind eingeladen. wahrscheinlich wird es eine wunderbare garten- und grillparty mit gewitterguss! gewittert hat es gestern auch endlich, mitten in der nacht prasselte der regen auf die dachfenster und schlich sich in meine träume. es muss ziemlich heftig gewesen sein, denn auf der straße sind immer noch pfützen zu sehen.
Wednesday, July 30, 2008
dass keiner schlafe
Nessun dorma! Nessun dorma!
Tu pure, o, Principessa,
nella tua fredda stanza,
guardi le stelle
che tremano d'amore
e di speranza.
Ma il mio mistero è chiuso in me,
il nome mio nessun saprà!
No, no, sulla tua bocca lo dirò
quando la luce splenderà!
Ed il mio bacio scioglierà il silenzio
che ti fa mia!
(Il nome suo nessun saprà!...
e noi dovrem, ahime, morir!)
Dilegua, o notte!
Tramontate, stelle!
Tramontate, stelle!
All'alba vincerò!
vincerò, vincerò!
English Translation of "Nessun Dorma"
Nobody shall sleep!...
Nobody shall sleep!
Even you, o Princess,
in your cold room,
watch the stars,
that tremble with love and with hope.
But my secret is hidden within me,
my name no one shall know...
No!...No!...
On your mouth I will tell it when the light shines.
And my kiss will dissolve the silence that makes you mine!...
(No one will know his name and we must, alas, die.)
Vanish, o night!
Set, stars! Set, stars!
At dawn, I will win! I will win! I willl win!
Tuesday, July 29, 2008
das war gar nichts
der zeitungskritiker hatte leider recht. Mamma Mia ist ein unsäglich blöder film, der nicht so schlecht ist, dass er wenigstens durch seine stümperhaftigkeit interessant wirken könnte. ständig hüpft, rennt, grient, grimassiert es in diesem film. nichts kommt zur ruhe, nichts kann wirken. bis auf pierce brosnan sind alle gut bei stimme und wollen das auch unbedingt beweisen. merryl streep brüllt jedes lied in die knie und schauspielert als ob es um ihr leben ginge. die jugendlichen hauptdarsteller sehen aus wie frosch und kröte und auch ein paar griechen dürfen mitspielen. sie stehen immer in grupen von 10 bis 15 um einen putzigen esel oder einen topf herum. gedreht wurde das ganze wahrscheinlich von den machen der ouzo- und der feta-werbung. aber der film hat mich nun auch nicht wirklich geärgert. heute früh hatte ich schon fast vergessen, dass ich gestern im kino war.
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